Je voudrais insister sur la nécessaire individualisation du prescripteur de l'établissement de soins, un sujet déterminant qu'il s'agisse du transport de patients ou de prescription de médicaments génériques à l'hôpital. Tant que nous n'aurons pas cette individualisation et donc cette identification du praticien hospitalier, nous resterons dans les généralités. Il est nécessaire de responsabiliser le prescripteur, non pas en lui imposant un diktat informatique mais en l'incitant à rationaliser sa prescription – qu'il doit établir lui-même et non déléguer à sa secrétaire, pour dire les choses de manière un peu crue.