Non, nous n'avons encore aucun résultat. Nous avons seulement effectué une simulation, en prenant l'hypothèse que notre proposition intéresserait 10 % des patients concernés : en Champagne-Ardenne, on gagnerait déjà 1,5 million d'euros, sur une dépense totale de 9 millions d'euros. Nous espérons pouvoir démarrer l'expérience de la carte de transport assis au mois de septembre. Cela demande un travail avec les centres de dialyse et les associations, bien sûr, mais ce n'est pas hors de portée.
J'insiste sur le fait que cet exemple montre qu'un référentiel de transport doit être élaboré pour chaque pathologie : aucune ne ressemble à l'autre.