à Nantes, à Dijon ou à Toulouse.
Dans une démocratie comme la nôtre, on a le droit de manifester, de s’opposer, de voter. On ne peut en aucun cas, et sur n’importe quel sujet, accepter la moindre violence. Et sur cette condamnation de la violence, sur tous les sujets, vous me trouverez toujours au premier rang ; et je souhaite que chacun, à chaque fois, quels que soient les motifs de la manifestation, prenne exactement la même position, monsieur Jacob. En tout cas, encore une fois, moi, j’ai cette cohérence. Et sur ces sujets-là, je vous invite à ne pas faire trop d’amalgames…