La réalité, c’est qu’en taxant les résidences secondaires, vous confirmez votre incapacité à mener de réelles réformes de structures. Et tant que vous ne ferez pas de réformes structurelles, il n’y aura pas de rétablissement durable de nos comptes publics. Et vous pourrez faire tous les arrangements que vous voulez avec Bruxelles, avec votre politique, les Français continueront de payer encore plus d’impôts.
Cette nouvelle taxe serait-elle destinée à porter un nouveau coup au marché de l’immobilier ou à masquer à bon compte, et sur le dos des contribuables, la perte des dotations de l’État en direction des collectivités locales ? Enfin, monsieur le Premier ministre, après la taxation des résidences secondaires, quelle sera votre prochaine cible ?