Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, la grande intelligence de ce texte, c'est d'organiser un dialogue entre des autorités au lieu d'imposer un point de vue a priori, une règle mécanique, dans un domaine qui n'est pas une science exacte, la prévision économique.
Le Sénat a apporté des précisions utiles sur un certain nombre de points, mais le président de la commission des finances a eu raison de souligner que, sur d'autres points, même s'ils sont secondaires au regard du droit, on peut s'interroger sur la qualité juridique de ce qui nous est proposé.