On n’encourage pas ceux qui veulent travailler, et l’on décourage ceux qui veulent obtenir un complément de revenus. Je me place donc du point de vue du salarié : j’estime que puisqu’il faut faire des économies, il serait opportun d’aller les chercher dans d’autres crédits budgétaires de l’État en matière agricole qui sont inutiles. Je vous invite par exemple à vous pencher sur les fonds publics que perçoivent certains chais de châteaux prestigieux au titre de l’Organisation commune du marché vitivinicole…