Je suis au courant ; merci de cette petite leçon, mais je ne suis pas votre élève, comme disait l’autre.
C’est un sujet important et, vous l’avez dit vous-mêmes, vous êtes conscients des répercussions sur la santé publique en général. C’est pourquoi nous avons considéré qu’il fallait une couverture optimale. Nous maintenons cette position de principe. Nous la maintenons : ce n’est donc pas quelque chose de dissimulé, c’est quelque chose de dit.
Vous n’êtes pas d’accord avec nous : vous en avez le droit, mais nous avons aussi le droit de défendre notre position. Pour le reste, je vous laisse à vos propos, à vos marottes, et nous verrons au moment du vote…