Je voudrais tout d’abord regretter à mon tour que ces amendements n’aient pas été examinés en commission élargie où nous aurions pu véritablement en débattre. Je sais bien, par ailleurs, que l’article 40 nous amène en seconde partie de loi de finances à ne pouvoir opérer que par transferts de crédits, mais j’invite tout de même la représentation nationale à prendre garde aux conséquences de la suppression de 18,2 millions de crédits au programme « Création ». Je n’ose mesurer l’insatisfaction que cette disposition ferait naître et les critiques dont nous ferions collectivement l’objet, que nous soyons dans la majorité ou l’opposition.