Je suis très sensible aux propos de M. Alauzet : notre soutien ne devrait pas passer par des moyens détournés, et surtout pas par la politique de transports à l'heure où les transports publics sont notoirement déficitaires et ont cruellement besoin de moyens pour financer leur fonctionnement.
En outre, cette méthode produit des dispositifs illisibles. Je rappelais récemment aux représentants des hôpitaux de ma circonscription, qui constituent une fondation, qu'ils avaient peut-être besoin d'aide mais que c'était bien en transports en commun que leurs salariés venaient travailler. Il est très difficile de justifier ce type d'exonérations.
Enfin, nous devrions éviter, comme l'a dit Mme la rapporteure générale, de remettre en cause l'arbitrage délicat rendu il y a quelques mois.