Le ministre de l'agriculture a conscience de la dimension assurantielle de la DPA, il l'a dit hier en commission élargie et cela nous a été répété hier soir, lors de la première audition organisée par la mission d'information. Mais ce n'est ni dans le cadre du projet de loi de finances rectificative ni dans celui de la mission d'information, limitée à l'aspect fiscal, que l'on pourra résoudre le problème, fondamental pour le monde agricole, de la dépréciation pour aléa climatique, environnemental ou sanitaire.