Notre objectif n'est-il pas de rapprocher l'assiette de notre impôt sur les sociétés de celle qui s'applique en Allemagne ? Or le principal obstacle dans cette affaire, c'est précisément la déductibilité des intérêts d'emprunt. Voilà d'ailleurs pourquoi nous avons entrepris de la réduire, comme l'a rappelé notre collègue Lefebvre. Tout mouvement en sens inverse constitue une régression et nous éloigne de la convergence fiscale.