Monsieur Henri Guaino, j’ai du respect pour vous, et je sais que vous faites souvent référence à l’histoire, à vos racines gaullistes. Mais quand on connaît l’histoire, l’on constate que c’est votre inconscient qui a parlé. Ainsi, puisque vous avez évoqué l’affaire Markovic, je dois vous rappeler d’où sont venus les coups contre Georges Pompidou