Ensuite, l’idée selon laquelle seules les références à l’identité, à l’histoire, à la tradition, à la volonté d’être ensemble suffiraient à produire une réforme utile au pays ne me semble pas aller de soi. J’entends certains orateurs refuser telle et telle « construction » politique sous prétexte qu’elle repose davantage sur la technocratie que sur l’identité. Lorsque Siéyès concevait la nation, il ne se fondait pas sur son identité, mais sur la pensée.
Le 21/11/2014 à 16:05, laïc a dit :
Il se fondait sur le pognon : abolition des privilèges et des droits féodaux...
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