Je me félicite de l’amendement de notre collègue Molac.
Je suis déçu, en revanche, qu’on ait laissé de côté ses objectifs dans le débat qui vient d’avoir lieu. Il s’agit de rechercher l’apaisement.
J’ai apprécié l’intervention du président du groupe SRC, qui se référait à la République. Ici, nous légiférons au titre de nos responsabilités nationales et il est légitime que nous puissions arrêter une disposition claire.
Mais la République, ce sont aussi les élus locaux. Et je suis triste, au fond de moi-même, quand j’entends comment certains considèrent leur esprit de responsabilité. Ils ne choisiront pas un jour d’aller ici, un jour d’aller là-bas.