Monsieur Hillmeyer, je ne crois pas un seul instant que le chef d'état-major de l'armée de l'air de l'époque se soit amusé à déplacer le commandement des forces aériennes de Metz à Dijon en sachant qu'on fermerait Dijon pour le transférer à Bordeaux deux ans plus tard. Si de telles décisions sont prises, y compris au plus haut niveau, c'est simplement par manque de visibilité à court terme. Il serait déplorable que les mêmes bêtises soient commises aujourd'hui.