Monsieur le Premier ministre, aujourd’hui, les territoires ruraux, leurs spécificités et leur développement économique sont totalement oubliés dans la réforme territoriale.
Il est temps de donner une réelle chance à la ruralité. Elle a aussi ses atouts !
Cette réforme a pour ambition d’être le pilier du redressement du pays. Elle ne peut se faire en oubliant 80 % du territoire, qui compte 20 % de la population !
De plus, avec la baisse drastique des dotations aux collectivités locales, l’existence même des communes rurales et la proximité que réclament nos concitoyens sont remises en cause.