Votre argument n’a rien à voir avec le sujet que nous avons voulu évoquer, Philip Cordery et moi ! Nous disons simplement – je m’adresse aussi à M. le président de la commission des lois – qu’il nous faut discuter des sujets européens avec la profondeur qui convient.
Je finirai en abordant la question de la transversalité. Si les affaires européennes sont à ce point transversales, peut-être faudrait-il qu’elles infusent plus dans chacune des commissions permanentes ? Peut-être faudrait-il même directement supprimer la transversalité ? Discutons-en sereinement, sans invoquer de tels arguments, qui ont été violemment ressentis de notre côté.