Ces deux amendements sont en effet cohérents. Ils tendent à ce que nous travaillions tous les jours, ce qui est normal, dans le cadre d’un temps limité, ce qui est logique.
La proposition du président Bartolone dit cependant exactement l’inverse ! Nous souhaitons travailler le mardi, le mercredi et le jeudi à l’Assemblée de façon à ce que la rationalisation de nos travaux soit effective une bonne fois pour toutes et que le Gouvernement ne puisse pas nous convoquer indûment le lundi et le vendredi.
Des parlementaires expliquent en effet que, non-cumulards, ils souhaitent pouvoir passer un peu de temps dans leurs circonscriptions. Comment ne pas les comprendre ?