… par la négative.
Sur le premier point, et je le dis avec force, la novation introduite sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy en 2008 avec le pouvoir de résolution conféré aux deux Assemblées dans les conditions de l’article 34-1 de la Constitution ne donne ni à l’Assemblée nationale, ni au Sénat, le droit de réécrire la diplomatie de la France.
Aujourd’hui, il nous est demandé de reconnaître la Palestine mais quid, alors, demain du Sahara occidental, du Kurdistan irakien, du Haut-Karabagh, de l’Abkhazie, et de bien d’autres sujets encore ?