Mesdames et messieurs les députés, la position du gouvernement français se veut à la fois équilibrée et positive. Il n’est pas question d’un statu quo qui, en réalité, menacerait la solution des deux États, il n’est pas question de céder sur la sécurité d’Israël et il n’est pas question d’importer chez nous le conflit israélo-palestinien.