Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, madame et monsieur les rapporteurs, chers collègues très nombreux – je ne doute pas que les autres sont devant leur poste de télévision à nous écouter tout en consommant de l’énergie (Sourires) – nous sommes ici réunis pour débattre de l’amendement de Doha au protocole de Kyoto et, je l’espère, l’approuver.