Les Français ont très bien compris de quoi il s’agissait et ils ont préféré se promener en forêt ou faire du vélo, et ils ont eu raison.
Je me félicite de la qualité des débats en commission. À cet égard, nous assistons toujours au même paradoxe : en commission, les choses se passent très bien car les députés, de fait, sont des connaisseurs et s’intéressent aux sujets traités, même s’ils ont des avis divergents, tandis que dans l’hémicycle les échanges tournent souvent mal. Je ne peux que le regretter.
J’ai une explication à cela : quand je regarde sur la gauche de l’hémicycle, je vois des députés membres de la commission des affaires sociales, mais lorsque je regarde à droite, je n’en vois qu’un, à savoir vous-même, monsieur Lurton.