Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, de votre réponse précise et argumentée.
La question est tout de même de savoir si nous restons dans le système en l’améliorant empiriquement ou si nous le faisons basculer afin de faire financer par l’employeur, par le biais du financement par la branche Accidents du travail et maladies professionnelles, des faits qui devraient normalement être à leur charge plutôt qu’à celle de l’assurance maladie. Il y a peut-être là une question de justice économique.