Monsieur le Premier ministre, le 23 novembre 1947, les Nations unies adoptaient une résolution sur le gouvernement futur de la Palestine, « Appellation des territoires aujourd’hui israéliens et palestiniens ».
Elles affirmaient que les « États indépendants arabe et juif commenceront d’exister le 1er octobre 1948 au plus tard ».
Près de soixante-dix ans plus tard, d’espoir en désillusion, de guerres en cessez-le-feu, d’attentats terroristes en occupations illégales, la violence l’a emporté. Le statu quo est insoutenable pour les peuples qui souffrent et se désespèrent.
La solution ne peut être que politique, par négociation entre les parties, avec date-butoir, sous l’égide de l’ONU.