On se moque d’eux, en affirmant que notre vote aura un quelconque effet sur le processus de paix.
La Constitution donnait le pouvoir au Premier ministre de s’opposer à ce débat. En abdiquant devant une initiative parlementaire intempestive, vous affaiblissez le Président de la République. Vous corsetez son action diplomatique, alors que, dans nos institutions, c’est lui et lui seul qui détermine la politique étrangère de la France.