Monsieur Galut, je lis ce qui est écrit, et j’écoute ce qui est dit, y compris en dehors de cet hémicycle. J’ai bien compris le sens de vos propos. Vous avez notamment dit : « il faut une vraie prise de conscience » – sous-entendu : ce n’est pas encore le cas – et « il faut changer de paradigme » – sous-entendu : le paradigme selon lequel fonctionne l’administration n’est pas satisfaisant.
Vous dites par ailleurs que les fonctionnaires de Bercy signent tous les jours des chèques adressés à des escrocs.