J’ai l’habitude de m’en remettre à ses recommandations. Or, jusqu’à présent, je n’en ai pas reçu de telles et je considère que les aides apportées au titre des dispositions applicables aux Restos du coeur sont déjà assez importantes. Au-delà de 75 %, il s’agirait quasiment de crédits budgétaires, ce qui serait peu cohérent. Avis défavorable, donc.