Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, je vous remercie d’avoir évoqué la personne de Jacques Barrot. Au groupe UMP, qu’il a présidé avec tant de talent, nous sommes très émus et très tristes. C’est un homme qui a profondément marqué la vie politique française et la vie parlementaire. C’est avec une vraie émotion que nous regrettons aujourd’hui sa perte brutale.
Monsieur le Premier ministre, – en fait je m’adresse à l’ensemble du Gouvernement et à l’ensemble de votre majorité tant le sujet est vaste, et au Président de la République, si cela était possible –, ma question concerne l’impôt. Vous connaissez l’expression : « trop d’impôt tue l’impôt », ce n’est pas faute de vous l’avoir répétée depuis quelques années.