Cette droite n’a rien appris des échecs du quinquennat de M. Sarkozy en matière de dépenses publiques et de dette – je rappelle qu’au moment où nous sommes arrivés aux responsabilités, le déficit public dépassait 5 % du produit intérieur brut.
Elle propose à la fois d’augmenter les dépenses et de réaliser 110 milliards d’économies. Il ne faut pas oublier non plus les 36 milliards d’euros qu’elle avait déjà prélevés en 2011. Nous n’avons donc aucune leçon à recevoir d’elle en matière d’impôt.
À gauche, nous construisons un équilibre complexe, qui fait débat, à juste titre.