Il s’agit d’une bonne nouvelle, car moins de déficit entraîne moins de dettes, et moins de dettes, c’est préserver l’avenir des Français et des générations futures.
Ma deuxième annonce, qui elle aussi a tenu compte du débat qui a eu lieu dans cet hémicycle, concerne les impôts.Vous avez eu raison de rappeler que la majorité précédente avait voté plus de 36 milliards d’euros d’augmentations d’impôts en 2011 et 2012.