Je veux bien que nous soyons soumis à un interrogatoire toutes les cinq minutes sur tous les sujets. Je crois avoir montré, et je continuerai à le faire, ma volonté de n’éluder aucun débat et d’essayer de répondre précisément à toutes les questions mais, si, à chaque fois que nous abordons un sujet, nous sommes obligés de revenir à l’historique, à la sémantique…
Vous pouvez poser la question, monsieur de Courson, mais, pour l’amendement, cela n’a aucune influence. Pour reporter d’un an ou pas, que ce soit une redevance ou un impôt, cela ne change rien. Cela dit, mettons fin à cet épisode, c’est un impôt.