J'aurais une différence d'expression avec Jacques Myard : ce texte n'est pas un voeu pieu mais un voeu impie. J'étais déjà opposé à la convention 180 de Genève et à la loi de janvier 2005. Les expressions utilisées dans le texte sont très connotées : la notion de marché ne me paraît pas appropriée, celle de placement est également connotée et rappelle le placement des jeunes filles dans les familles. Mais les choses sont installées et il est proposé aujourd'hui d'encadrer par des dispositions d'Etat les errements de telles pratiques de placement. Je laisserai donc faire, mais sans enthousiasme.