Je m'abstiendrai lors du vote sur ce projet de loi, ne pouvant cautionner les violations des droits de l'homme observées en Azerbaïdjan. Ce pays est dirigé par un clan qui s'approprie toutes les richesses. L'ouverture de centres culturels ne va pas changer la donne ! Le peuple arménien se trouve aujourd'hui dans une situation catastrophique et cela est dû à une politique manifeste de l'Azerbaïdjan. Il n'est donc pas possible d'avoir un regard compassionnel – et complice – sur ce pays. Je comprends qu'il faille pratiquer la realpolitik, souvent inspirée par les intérêts économiques suscités par les ressources que possèdent certains pays, mais nous ne pouvons pas aller jusqu'à la compromission.