Puisque c’est vous qui tenez ces propos, vous me permettrez de répondre à l’argument, à défaut de répondre à la personne.
Je ne crois pas qu’on puisse opposer en l’occurrence les riches et les pauvres. Vous aviez l’air de dire que les riches auraient le bonheur de s’affranchir de la règle, tandis que les pauvres ne le pourraient pas. Or le combat que nous menons est d’abord un combat moral, éthique.