Toutefois, la mise en oeuvre de cette règle d’assiette s’est avérée particulièrement complexe, comme les propos que je viens de tenir, dans la mesure où la définition du seul passif afférent à l’acquisition des biens et droits immobiliers soulève, pour les opérateurs, des difficultés techniques. Elle aboutit, in fine, à créer une insécurité juridique de nature à bloquer les opérations.
Dans ces conditions, il est proposé de rétablir les règles d’assiette antérieures au 1er janvier 2012.