Les pharmaciens concernés seraient hors la loi si j’ose dire, mais la loi de la République, c’est-à-dire la nôtre, imposait à l’administration de fixer un contingent, et c’est donc elle qui, à certains égards, n’a pas respecté la loi puisqu’elle ne l’a pas fait. C’est en se fondant sur l’absence de contingent que cette même administration va dans les officines redresser les pharmaciens. Il y a là une contradiction.
Cela dit, j’entends vos arguments, monsieur le secrétaire d’État, et je prends acte de votre réponse. Je retire mon amendement.