Monsieur le président, je me permets de n'être qu'en accord partiel avec vos propos. Vous avez raison : nous devons nous outiller pour mesurer le bien-être – cela dit, en la matière, nous ne pouvons malheureusement pas inventer aujourd'hui les résultats d'enquêtes qui n'existaient pas il y a quinze ans.
Votre critique relative au caractère « archéologique » de nos travaux ne me semble en revanche pas fondée. Nous n'avons pas eu besoin de quinze ans de recul pour fournir les données que j'ai présentées : depuis une dizaine d'années, nous disposons déjà des éléments permettant d'estimer les conséquences de la RTT sur les grands agrégats.