Cela étant, je j’approuve pleinement l’heureuse initiative que représente le sous-amendement de M. Le Roux. À l’arrivée, nous disposerons d’un dispositif complet : non seulement le cinéma d’animation, secteur extraordinairement dynamique de la création cinématographique et audiovisuelle française, fera l’objet d’un effort particulier, mais le crédit d’impôt cinéma international sera plus compétitif, même en limitant à 30 millions d’euros la hausse du plafond, et prendra mieux en compte les « films du milieu », dont le budget est inférieur à 7 millions d’euros, qui assurent le renouvellement des talents et font toute la diversité – et la fierté – du cinéma français.