Dès lors, comment faut-il adapter la situation ? C’est vrai que, in fine, cela crée une dépense fiscale dont nous suivrons l’évolution du coût budgétaire, mais cela crée ensuite des retombées économiques dans le pays.
Il y a donc deux questions : garde-t-on une indépendance culturelle, avec un outil de production propre et, d’autre part, quels sont les retombées économiques et le bilan final ? Si le bilan est tout simplement équilibré entre, d’une part, les retombées en termes de salaires, d’activités, etc., et d’autre part la dépense fiscale, on conservera une industrie cinématographique en France.