Tout à l'heure, j'ai cité certaines de vos prises de position, ainsi que du Président de la République. Elles sont hésitantes : un pas en avant, deux pas en arrière ! Tantôt vous menacer de recourir à la coercition, tantôt vous assurez que vous ne ferez pas.
Certains collègues se sont opposés de manière constructive à cette proposition. Un de nos collègues a expliqué, tout à l'heure, qu'il faudra probablement revenir sur cette question un jour ou l'autre.
Je crois que l'on peut dépasser les clivages partisans sur certains sujets ; vous l'avez dit tout à l'heure, madame la ministre. Le modèle médical français est observé à l'étranger. Il est en train de se déliter, pour des raisons que les pouvoirs publics n'ont pas su anticiper. Ce n'est pas de votre faute, madame la ministre, mais celle de certains de vos prédécesseurs.