Comme M. Benoit l’a dit, pour faire face aux défis d’aujourd’hui, ceux de l’économie et de l’emploi, les Bretons n’ont pas besoin, pas plus que les habitants des autres régions, de signer je ne sais quel contrat par lequel l’État donnerait l’impression de leur donner quelques centaines de millions, voire un ou deux milliards d’euros, alors qu’il s’agit généralement de crédit déjà programmés qu’il s’est contenté de regrouper sous la casaque d’un nouveau nom, du genre « pacte d’avenir ».