Si on les avait écoutés, on n’aurait pas laissé la Bretagne à l’écart de cette réforme. On n’aurait pas blessé cette région en lui imposant cette réforme sans jamais l’entendre. Cette blessure a été exprimée par mes collègues alsaciens et je crois que ce sentiment est partagé par les élus du Languedoc-Roussillon.
Je conclurai par une petite note d’humour sur ce qu’on a appelé le droit d’option. Tout le monde semble maintenant défendre la majorité des trois cinquièmes, y compris le ministre, alors qu’en deuxième lecture, M. Vallini avait émis un avis de sagesse sur ce sujet. Je ne sais pas si cela sera de nouveau le cas lorsque nous examinerons cette disposition.