Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des lois, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je sais que sur les bancs du Gouvernement et de la commission, on est sourd aux revendications alsaciennes. Je vous invite donc à lire la une d’aujourd’hui des Dernières Nouvelles d’Alsace, qui titrent sur quatre colonnes : « La contestation s’étend. »