Autant il était audible dans les années 80, autant il me semble obsolète dans une période où la mondialisation est pour nous une réalité quotidienne.
Cette réforme nécessaire est difficile, et donc courageuse. Elle est difficile, parce que, comme nous l’observons tous dans nos circonscriptions, l’époque est plutôt au pessimisme et à la morosité, ce qui se comprend au vu des difficultés que rencontrent nos concitoyens.