…ce qui n’est pas forcément plus joli.
Voilà qui est clair, net et précis : nous n’avons pas mené la bataille parce que nous n’avons pas voulu prolonger les débats sur la suppression de l’article premier mais nous défendrons d’autres amendements, tendant, par exemple, à la constitution de deux régions dans l’ouest, par exemple – en l’occurrence, nous acceptons la logique d’un amoindrissement par rapport à ce qui existe aujourd’hui, avec les régions Bretagne et Centre-Val-de-Loire dans leur plénitude respective.
Ces amendements montreront que cet article premier, malheureusement, n’est pas consensuel. N’essayons pas de faire croire qu’il l’est dans l’ensemble du pays – seuls des parlementaires, éventuellement, le croiraient. Les élections qui se dérouleront dans quelques mois témoigneront que cette carte suscite bien des mécontentements.