Vous enfourchez donc cet argument, monsieur le ministre, en nous disant que si l’Alsace avait fait le « bon choix » il y a maintenant trois ou quatre ans, nous n’en serions pas là aujourd’hui. Vous avez sans doute raison, mais ce n’est pas parce que nous n’avons probablement pas fait le bon choix il y a trois ou quatre ans qu’il faut faire aujourd’hui un mauvais choix.
Le 17/12/2014 à 14:18, laïc a dit :
Une république démocratique est par essence neutre vis à vis du choix populaire : il n'y a pas de bon ou mauvais choix, il n'y a qu'un choix, point final.
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui