L'amendement n° 21 est rédactionnel.
Je profite de l'examen de cet amendement pour dire un mot au sujet de la télémédecine, sans doute chère à notre collègue Patrice Martin-Lalande, dont chacun connaît l'intérêt pour les nouvelles technologies de l'information et de la communication, et les compétences dans ce domaine. De nos jours, des logiciels permettent de développer le travail en réseau dans le domaine de la médecine. Ainsi, un centre hospitalier de proximité a la possibilité, en cas de suspicion d'un traumatisme crânien, de procéder à un scanner et de disposer, grâce au réseau PACS, d'un avis en moins de quarante minutes ; c'est le cas du service de neurologie de l'hôpital de Tours, où j'ai fait installer le logiciel adéquat grâce à des cofinancements privés. La télémédecine est, à mon sens, un élément essentiel de la médecine de proximité, dont bénéficieront les internes et les jeunes médecins dans les CHU où ils se forment.