En effet, votre discours, monsieur Ciotti, était un discours de posture.
Je voulais vous dire que la meilleure manière de faire en sorte que les dossiers des demandeurs d’asile soient traités rapidement est de donner à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ainsi qu’à l’Office français de l’immigration et de l’intégration les moyens dont ils ont besoin pour traiter correctement ces dossiers.
Vous ne l’avez pas fait.