Ce qui se passe au plan géopolitique fait en effet peser sur les persécutés une pression extrêmement forte, qui les conduit à prendre le chemin de l’exode.
C’est d’ailleurs une très belle réponse à tous ceux qui pensent que c’est par fascination pour le code frontières Schengen qu’on s’engage sur les chemins de l’exode. S’imagine-t-on un futur demandeur d’asile découvrant ce texte quelque part sur les côtes libyennes et s’avisant de venir en Europe en tester la mise en oeuvre ! Ce n’est pas ça, la réalité.