Il est vrai que ces directives sont examinées lors des conseils justice et affaires intérieures. Il est tout à fait possible que le ministre de l’intérieur de l’époque et l’un de vos collègues parlementaires, ici présent, qui appartenait à son cabinet, aient participé à la rédaction de ce texte. Comme je ne veux pas faire de peine aux parlementaires UMP présents en séance aujourd’hui, je m’en tiendrai là.
Quant à la réponse sur le fond, je vous renvoie aux propos de Mme Mazetier auxquels je n’ai pas éprouvé le besoin de rajouter quoi que ce soit parce que son argumentation a été, comme d’habitude, excellentissime.